« Marbonne » : différence entre les versions
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De par sa géographie et sa proximité avec L'Hankharan, Marbonne est une région pauvre où rien ne pousse hormis une herbe brunâtre. Les quelques citoyens qui ne sont pas militaires dans le comté élèvent des chèvres, seuls être capables de se satisfaire de l'épais végétal. Afin de se protéger des pillards et autres dangers de ces landes désolées, les habitants se sont regroupés dans des fermes lourdement fortifiées ou dans des villages qui, pour un oeil extérieur, ressemblent plus à des forteresses. | De par sa géographie et sa proximité avec L'Hankharan, Marbonne est une région pauvre où rien ne pousse hormis une herbe brunâtre. Les quelques citoyens qui ne sont pas militaires dans le comté élèvent des chèvres, seuls être capables de se satisfaire de l'épais végétal. Afin de se protéger des pillards et autres dangers de ces landes désolées, les habitants se sont regroupés dans des fermes lourdement fortifiées ou dans des villages qui, pour un oeil extérieur, ressemblent plus à des forteresses. | ||
Les échanges avec l'empire se font via la seule route qui s'étend d'Est en Ouest le long de la cote Nord. Les peaux et fromages issus de l'élevage sont échangés contre des céréales et quelques biens de consommation. En revanche on croise de nombreux convois militaires en direction de Fort Vitrossy car c'est de là que partent toutes les garnissons et patrouilles de la frontière. Prévenant les incursions, les soldats sont renforcés par de nombreux aventuriers et sont peu | Les échanges avec l'empire se font via la seule route qui s'étend d'Est en Ouest le long de la cote Nord. Les peaux et fromages issus de l'élevage sont échangés contre des céréales et quelques biens de consommation. En revanche on croise de nombreux convois militaires en direction de Fort Vitrossy car c'est de là que partent toutes les garnissons et patrouilles de la frontière. Prévenant les incursions, les soldats sont renforcés par de nombreux aventuriers et sont peu regardants sur le passé de ceux qui rejoignent leurs rangs. Bien que les comtes de fer appliquent une justice impitoyable le comté est livré à la loi du plus fort la plupart du temps et les créatures qui hantent les landes la nuit ont fait disparaitre bien des corps qu'elles n'ont pas eu a chasser. | ||
La puissante garnison impériale présente sur la frontière est divisée en deux corps bien spécifique. Le premier lent mais implacable est composé de l'infanterie de forteresse on les surnomme 'Les Maçons'. Ces hommes du génie sont capable de monter un camp retranché en quelques heures avec les matériaux locaux (bien souvent uniquement de la terre et des rochers). Ils parcourent le comté et battissent des point forts tenables par une poignée d'homme. Ces fortins vont permettre de stocker les vivres et matériaux pour l'ensemble de l'armée. La répartition de ces point durs se fait en profondeur selon plusieurs lignes de défenses permettant de combler facilement une brèche en cas de percée adverse. En plus de leur rôle de bâtisseurs ils occupent les remparts de Fort Vitrossy et assurent la gestion de la route impériale, véritable cordon ombilical du comté. | |||
Le second groupe est l'élite de la cavalerie impériale : les limiers du comte de fer. Ce corps est composé de nombreux lanciers et archers montés. Cette cavalerie moyenne patrouille sans fin les landes et traque les incursions ou les éventuels hors la loi. Elle incorpore le plus grand nombre d'aventurier comme éclaireurs à pied ou infanterie de fortune mais leur montre un profond dégout, pour eux un citoyen ne peut pas servir temporairement, il se doit de dévouer sa vie à la garde de la frontière ou bien ne pas s'en approcher. Lors de leur raids, les cavaliers vont de fortins en fortins afin de ne pas aller se ravitailler en ville. La norme veut qu'il y ait 2 jour de cheval entre chaque fortins cela permet d'économiser les hommes et le matériel. | |||
La relation symbiotique entre les limiers et les maçons a géré un profond respect entre eux et on ne comptent plus les compagnies de limiers bravant les landes sur des kilomètres pour aller secourir un bastion encerclé ou retrouver une patrouille égarée. | |||
Tenir la position est le crédo de cette armée, une rotation est de 30 jours et 30 nuits mais la relève ne peut être effective que si une nouvelle garnison ou section prend la place de l'actuelle. Afin de toujours apporter nourriture et abri aux limiers des maçons ont tenu leur fortin d'avant poste oublié durant une année sans voir leur garde relevée. Cet événement est devenu un exemple voir une légende au sein du comté et malheur à ceux qui pensent à fuir un devoir ou manquer à leur parole. | |||
Note : il n'est pas rare qu'une patrouille de limier entre dans un fortin occupé par une section de Houx en plus des maçon déjà en présence. On dit de ces alliés qu'ils surgissent du sol au moments critiques, restent là le temps que le danger passe et disparaissent. Il arrive quelques fois qu'un Houx solitaire croise une garnison ou une patrouille et contrairement aux autres aventurier les soldats font preuve de respect envers lui. Ces fréquentations font qu'il n'est pas rare non plus que les hommes du comte de fer nomment affectueusement leur fortins des 'nids'. | |||
Version du 2 septembre 2024 à 09:44
Marbonne
Le comté de Marbonne est le plus à l'ouest de Talgur. Il se trouve à la frontière avec L'Hankharan ce qui en fait une région hostile et peu peuplée.
On ne compte qu'une seule ville majeure Fort Vitrossy au nord du comté et quelques villes mineures qui sont plus des villages fortifiés que de réelles villes.
A la tête du comté se trouve la famille Theliel, une ancienne et prestigieuse famille connue pour sa rigueur et sa droiture. Ces valeurs leur valent le surnom de comtes et comtesses de fer. On voit rarement un sourire sur le visage de celui ou celle qui règne sur Marbonne car les raisons de sourires sont rares et sont souvent éclipsées par des nouvelles graves.
De par sa géographie et sa proximité avec L'Hankharan, Marbonne est une région pauvre où rien ne pousse hormis une herbe brunâtre. Les quelques citoyens qui ne sont pas militaires dans le comté élèvent des chèvres, seuls être capables de se satisfaire de l'épais végétal. Afin de se protéger des pillards et autres dangers de ces landes désolées, les habitants se sont regroupés dans des fermes lourdement fortifiées ou dans des villages qui, pour un oeil extérieur, ressemblent plus à des forteresses.
Les échanges avec l'empire se font via la seule route qui s'étend d'Est en Ouest le long de la cote Nord. Les peaux et fromages issus de l'élevage sont échangés contre des céréales et quelques biens de consommation. En revanche on croise de nombreux convois militaires en direction de Fort Vitrossy car c'est de là que partent toutes les garnissons et patrouilles de la frontière. Prévenant les incursions, les soldats sont renforcés par de nombreux aventuriers et sont peu regardants sur le passé de ceux qui rejoignent leurs rangs. Bien que les comtes de fer appliquent une justice impitoyable le comté est livré à la loi du plus fort la plupart du temps et les créatures qui hantent les landes la nuit ont fait disparaitre bien des corps qu'elles n'ont pas eu a chasser.
La puissante garnison impériale présente sur la frontière est divisée en deux corps bien spécifique. Le premier lent mais implacable est composé de l'infanterie de forteresse on les surnomme 'Les Maçons'. Ces hommes du génie sont capable de monter un camp retranché en quelques heures avec les matériaux locaux (bien souvent uniquement de la terre et des rochers). Ils parcourent le comté et battissent des point forts tenables par une poignée d'homme. Ces fortins vont permettre de stocker les vivres et matériaux pour l'ensemble de l'armée. La répartition de ces point durs se fait en profondeur selon plusieurs lignes de défenses permettant de combler facilement une brèche en cas de percée adverse. En plus de leur rôle de bâtisseurs ils occupent les remparts de Fort Vitrossy et assurent la gestion de la route impériale, véritable cordon ombilical du comté.
Le second groupe est l'élite de la cavalerie impériale : les limiers du comte de fer. Ce corps est composé de nombreux lanciers et archers montés. Cette cavalerie moyenne patrouille sans fin les landes et traque les incursions ou les éventuels hors la loi. Elle incorpore le plus grand nombre d'aventurier comme éclaireurs à pied ou infanterie de fortune mais leur montre un profond dégout, pour eux un citoyen ne peut pas servir temporairement, il se doit de dévouer sa vie à la garde de la frontière ou bien ne pas s'en approcher. Lors de leur raids, les cavaliers vont de fortins en fortins afin de ne pas aller se ravitailler en ville. La norme veut qu'il y ait 2 jour de cheval entre chaque fortins cela permet d'économiser les hommes et le matériel.
La relation symbiotique entre les limiers et les maçons a géré un profond respect entre eux et on ne comptent plus les compagnies de limiers bravant les landes sur des kilomètres pour aller secourir un bastion encerclé ou retrouver une patrouille égarée.
Tenir la position est le crédo de cette armée, une rotation est de 30 jours et 30 nuits mais la relève ne peut être effective que si une nouvelle garnison ou section prend la place de l'actuelle. Afin de toujours apporter nourriture et abri aux limiers des maçons ont tenu leur fortin d'avant poste oublié durant une année sans voir leur garde relevée. Cet événement est devenu un exemple voir une légende au sein du comté et malheur à ceux qui pensent à fuir un devoir ou manquer à leur parole.
Note : il n'est pas rare qu'une patrouille de limier entre dans un fortin occupé par une section de Houx en plus des maçon déjà en présence. On dit de ces alliés qu'ils surgissent du sol au moments critiques, restent là le temps que le danger passe et disparaissent. Il arrive quelques fois qu'un Houx solitaire croise une garnison ou une patrouille et contrairement aux autres aventurier les soldats font preuve de respect envers lui. Ces fréquentations font qu'il n'est pas rare non plus que les hommes du comte de fer nomment affectueusement leur fortins des 'nids'.
